Comité troisié

Hypothèse de non-sépérabilité biologique

Résumé

Paradoxe de simultanéité en épidémiologie et la proposition de non séparabilité biologique (NSB) qui devient à présent l'intrication biologique Ré-enchanter le monde Vidéo faite en 1988, qui ose une polémique légitime, brave les interdits, où le partage des avantages acquis est nettement plus favorable que "le développement du plus fort". De plus, il s’agit d’un concept scientifique qui répond à un concept moral : le partage des avantages acquis, notion commune, novatrice, un concept à la fois moral et scientifique, un cas unique dans toute l’histoire des sciences. Par ailleurs la rétroaction de l’avantagé sur sa filiation introduit une non-linéarité ainsi que des processus exponentiels, ce qui rende compte de l’extraordinaire capacité d’adaptation du vivant à son milieu. Cette nouvelle proposition sur l’évolution des espèces, elle est acausale et fondée sur le principe de l’expansion du même, et son application thérapeutique pourrait être considérable. Mais ce travail ne sera accepté que si une troisième et dernière expérimentation réussit et conduit à une publication internationale. Traduction avec Wall Street English A web site, which risks a justified debate, defies prohibitions: where the sharing of the acquired advantages " is clearly more relevant than " the development of the most hardy or best adapted to survive". Furthermore, it’s about a scientific concept which answers a moral concept: the sharing of the acquired advantages, the common, innovative, unique notion of all the history of science . Besides feedback of the favored,its filiation introduces a non-linearity as well as an exponential processes, which reports the extraordinary capacity of adaptation of the living to their environnement.

Conclusion

Dans la continuité de ma thèse de médecine « Paradoxe de simultanéité en épidémiologie », je travaille sur l’infiniment bref, cette « étude » en se saisissant d’un point de vue original (ici le mesure) revisite le domaine (de réflexion) ouvert par « L’évolution des espèces est quantique ».
La mesure c’est la base de la physique quantique depuis « les fentes de Youg » (1801).
A la fois corpuscule et onde (CO), yin et yang, ce dilemme est incompréhensible et il faut y ajouter une probabilité d’existence à cette dualité (CO).
En théorie correspondant à la réduction (ou collapse) de le fonction d’onde est instantanée. Posé comme un axiome elle répond cependant aux faits expérimentaux, c’est l’interprétation de pratiquement tous les physiciens dite « de Copenhague »
Ce « signal instantané » est très théorique, c’est une convention au même titre que l’interprétation de Copenhague . Je dois introduire, comme exercice, la notion d’« instant épais », que ce soit de la fémtoconde (10 -15 s) ou de l’octoseconde (10 -24 s) un minimum de durée est nécessaire nous entrons dans le domaine macroscopique ou tout au moins dans le réel, la théorie est derrière nous, la pratique reprend ses droits.
Nous cherchons l’objectivité. Et comme le dit l’adage « zéro + zéro = ta tête à toto » la durée demeure toujours égale à zéro. On ne peut partir d’ un temps nul, l’instant absolu serait juste un principe, celui de G. Bachelard qui ne pouvait connaître cette intuition.
Mais la grande discussion est alors le rôle de l’observateur.
Est-ce lui qui est responsable du collapse de la fonction d’onde ou c’est l’entrée dans le monde macroscopique. Ce beaucoup d’égard donner au technicien, à sa pensée ou mène à un égard, pour moi exagéré, à l’homme qui fait la mesure.
L’homme n’est pas au centre du monde et du cosmos, il n’est pas le seul représentant de l’évolution du vivant : voilà l’égocentrisme de l’homme depuis le néolithique, sa tendance « naturel » où l’homme doit être à la mesure de toutes choses.
On peut refuser cet égocentrisme. Déjà on sait que la terre est un caillou parmi d’autre, dans un univers immense et que l’homme est d’apparition récente (quelques millions (un ou deux) d’années face aux milliard d’année de la terre). L’homme est un vivant singulier mais dans un univers de vie, tout aussi complexe.
Et on le refuse, aussi on se rapproche d’une vision plus réaliste de l’homme dans l’univers mais surtout on apprend des choses essentielles : nous avons tout à découvrir après l’infiniment petit maintenant l’infiniment bref.
Prenons chronologiquement la femtoseconde, laps de temps récompensé par un prix Nobel. C’est un temps que l’on a mesuré. Mais il ne correspond à aucune notion connue, c’est le laps un temps simplement le plus court scientifiquement observé.
Il serait intéressant de connaître celui où survient la décohérence, où disparaissent des états quantiques superposés au profit de l’état macroscopique. C’est toute la difficulté d’interprétation du fameux chat de Schrödinger, à la fois vivant et mort quand il n’est pas observé (en théorie) mais vu il est alors soit vivant soit mort.
C’est la théorie qui sème la discorde on dit au niveau microscopique il y a superposition, pas au niveau macroscopique : mais l’intérêt c’est la passage la question est le laps de temps pour effectuer ce passage. Personne ne s’y est intéressé depuis 1935.
Et pourtant la biologie en a fait l’artisan de l’évolution « quantique » des espèces faisant passer le la probabilité de présence de la particule à la probabilité de mutation. J’ai identifié le maître d’œuvre de la mutation :c’est le saut protonique (the proton jump) qui correspond à un changement radicale du nucléotide en passant de l’adénine et la thymine (etc…), juste un saut (aidé par l’effet tunnel) change la séquence nucléotidique. Et un ensemble de mutations font un variant phénotypique.
J’ai expérimenté où le variant était adapté des cellules très sélectives, quand une souche virales était en contact avec ce type de cellule, elle acquérait cette adaptation où que ce trouve ces cellules (on parle d’élection génomique) : si on répétait l’opération, elle gardait cet acquis se comportant alors vis-à-vis de cellule comme un cellule non-sélective.

A présent l’objectif est de reproduire ce qui fut le début de cette recherche « la paradoxe de simultanéité » en plusieurs lieux géographiques (en 1976 c’était le virus Ebola qui déclenchait indépendamment un épidémie au Soudan et une au Zaïre) : trois sites distants les uns des autres où l’un va « piloter » des deux autres.
Je pense que la probabilité de mutation est au cœur de ce processus comme de tous processus évolutif depuis 4,1 milliards d’année , et nous sommes homme de cette planète c’est tout.
Aussi ce moment crucial de la décohérence quantique c’est le grand choix pour les espèces pour leur évolution.
C’est toujours le meilleur qui évolue, non car l’esprit darwinien, mais déjà choisit ailleurs, dans un autre lieux, comme répondant à un besoin « vital ». C’est l’amorce de « l’expansion du même ».
Enfin si en physique depuis 1935 cette identification du « temps de la décohérence » n’a aucune implication conceptuel et expérimentale, il en va tout autrement en biologie ce temps est celui du partage des spécificités génotypiques (comme du spin en physique) qui ont augmenté la production de cette spécificité.
Ce variant qui selon le principe de « l’expansion du même » va se distribuer selon l’origine commune (OC) et uniquement ce principe. L’action à distance est une vue fausse de la réalité, il n’y a pas d’action, et il n’y a plus de distance, nous sommes dans la non-localité et il n’a ni masse ni force donc pas d’action, juste des probabilités qui se répartissent selon ce principe de OC.
Cette principe de OC est plus riche que la transmission verticale à la Darwin, transmission verticale de génération à génération par reproduction sexuée, il y les unicellulaires, procaryotes à transmission horizontale, mais surtout les virus dont je montre depuis plus de vingt ans qu’il rentre « de facto » dans le règne des vivants : les transitions génomique est identique ADN et ARN, même combat, si la survie l’est.
Il n’y a plus d’ancêtre, il n’y a que l’origine dite commune, cad un simple contact de matière à matière (comme le spin en physique) c’est peu, mais cela dure depuis 4,1 milliard d’année (vois ci-dessus).
Le vivant devient beaucoup plus protéiforme, plus fluide. Pas plus complexe mais plus riche par les « phénomènes » qu’il renferme.
« l’action de la sélection naturelle consiste à éliminer » les réseau x de l’évolution ne passent plus que le plus (apte, adapté, compétent etc.) vocables qui explicitent combien la pensée évolutive à depuis bien avant Darwin (entomologiste) est avant tout une pensée bien « humaine », donc souvent causale, « l’égocentrisme depuis le néolithique ».
Excuser les scientifiques (des science moles), ce sont des humains et tout ce qui est vivant peut être « raisonnable ». Ils sont excusés mais depuis des centaines de siècles arrêtons de croire que la nature fonctionne à l’image de notre réflexion. Elle est plus vaste, infiniment plus vaste et elle très différente au point d’être incompréhensible.
Depuis plus de vingt ans que j’exerce cette activité d’évolutionnisme, on me dit souvent, très souvent, vous rêvez l’évolution ce n’est pas raisonnable …Justement non !
A. Einstein parlant au nom de Dieu que celui-ci (disait-il) ne joue pas aux dés, la physique quantique démontre le contraire.
Maintenant que nous avons établit que l’évolution des espèces est entièrement fondée sur le phénomène de mutation et que celui-ci est totalement quantique disons le clairement cette évolution n’est pas causale, acausale elle est intimement.
Pas du tout erratique, elle est plus proche des mathématiques que de la chanson. Certes quand elle est purement physique ces mathématiques sont à la fois complexes et ingénieuses. La démonstration de JT.Bell (ses inégalités sont logique et prouvées expérimentalement) en est l’exemple.
Elle devait établir le bien-fondé de la non-séparabilité quantique qui fonde à présent, elle-même la dynamique de l’évolution des espèces !
Conclusion la physique est probabiliste de même la vie est (intrinsèquement) acausale.
Il est clair à présent que nous devons travailler de façon empirique, pour utiliser ce que l’on croit être une voie thérapeutique.
Ce changement des théorie de l’évolution (au profils de l’élection génomique) sera acquise par « l’expérience cruciale » . L’équivalent en sciences du vivant de la démonstration en science physique de J.T.Bell et de A.Aspect .
Mais science physique en l’occurrence, depuis 1981, aucune application n’a été réalisée, à l’exception des codages inviolables en cryptographie quantique. En physique, l’absence de causalité semble est apparemment interdire toute application.
En biologie et plus précisément en médecine, l’empirisme est la pratique, la méthode utilisée, est celle du principe essai/erreur. Certes on tâtonne mais cela depuis le néolithique et cela ne marche pas trop mal. Sa modalité offre cependant une explication détaillée, mais pour la médecine, en amont l’explication est un luxe non nécessaire. On pratique de nombreux examens pour enrichir l’explication.
Mais pourquoi celui-là développe un cancer, tel autre un diabète, on explique le mécanisme, pas son occurrence. De même que processus mécanique, physique est parfaitement prévisible, mais au niveau microscopique, a fortiori le quantique il ne l’est pas.
En médecine on parle aussi de probabilité pour les facteurs de risques et parfois d’espoirs thérapeutiques (utilisé pour des maladies chroniques comme maladie d’Alzheimer).
Bref notre intérêt se porte sur les phase initiales du « dogme central de la génétique, pas la phase qui va de l’ARN à la protéine.