Comité troisié

Hypothèse de non-sépérabilité biologique

Résumé

Paradoxe de simultanéité en épidémiologie et la proposition de non séparabilité biologique (NSB) qui devient à présent l'intrication biologique Ré-enchanter le monde Vidéo faite en 1988, qui ose une polémique légitime, brave les interdits, où le partage des avantages acquis est nettement plus favorable que "le développement du plus fort". De plus, il s’agit d’un concept scientifique qui répond à un concept moral : le partage des avantages acquis, notion commune, novatrice, un concept à la fois moral et scientifique, un cas unique dans toute l’histoire des sciences. Par ailleurs la rétroaction de l’avantagé sur sa filiation introduit une non-linéarité ainsi que des processus exponentiels, ce qui rende compte de l’extraordinaire capacité d’adaptation du vivant à son milieu. Cette nouvelle proposition sur l’évolution des espèces, elle est acausale et fondée sur le principe de l’expansion du même, et son application thérapeutique pourrait être considérable. Mais ce travail ne sera accepté que si une troisième et dernière expérimentation réussit et conduit à une publication internationale. Traduction avec Wall Street English A web site, which risks a justified debate, defies prohibitions: where the sharing of the acquired advantages " is clearly more relevant than " the development of the most hardy or best adapted to survive". Furthermore, it’s about a scientific concept which answers a moral concept: the sharing of the acquired advantages, the common, innovative, unique notion of all the history of science . Besides feedback of the favored,its filiation introduces a non-linearity as well as an exponential processes, which reports the extraordinary capacity of adaptation of the living to their environnement.

Chapitre 3

L’apparition de la vie sur Terre il y a 3,5 milliards d’années

Les faits observés et leurs coïncidences temporelles :
- la sortie de l’espace marin
- la mammalisation
- et enfin l’hominisation.

« Un processus aléatoire ne pourrait expliquer ces étonnants phénomènes de convergence adaptative observée entre des groupes très éloignés et qui ont donné des ailes aux insectes, à des reptiles, à des oiseaux et à des mammifères »
À la fin de l’oligocène un certain nombre de grands primates s’engagèrent dans la voie qui conduit à l’homme. Cette tendance atteint à peu près en même temps, et de façon indépendante, un certain nombre de genres, en des lieux très éloignés les uns des autres ».

Jacques Ruffié. De la biologie à la culture. Éditions Flammarion 1983 p 198
Coppens. L’Afrique et à l’origine de l’homme. In l’anthropologie I 1974.