Comité troisié

Hypothèse de non-sépérabilité biologique

Résumé

Paradoxe de simultanéité en épidémiologie et la proposition de non séparabilité biologique (NSB) qui devient à présent l'intrication biologique Ré-enchanter le monde Vidéo faite en 1988, qui ose une polémique légitime, brave les interdits, où le partage des avantages acquis est nettement plus favorable que "le développement du plus fort". De plus, il s’agit d’un concept scientifique qui répond à un concept moral : le partage des avantages acquis, notion commune, novatrice, un concept à la fois moral et scientifique, un cas unique dans toute l’histoire des sciences. Par ailleurs la rétroaction de l’avantagé sur sa filiation introduit une non-linéarité ainsi que des processus exponentiels, ce qui rende compte de l’extraordinaire capacité d’adaptation du vivant à son milieu. Cette nouvelle proposition sur l’évolution des espèces, elle est acausale et fondée sur le principe de l’expansion du même, et son application thérapeutique pourrait être considérable. Mais ce travail ne sera accepté que si une troisième et dernière expérimentation réussit et conduit à une publication internationale. Traduction avec Wall Street English A web site, which risks a justified debate, defies prohibitions: where the sharing of the acquired advantages " is clearly more relevant than " the development of the most hardy or best adapted to survive". Furthermore, it’s about a scientific concept which answers a moral concept: the sharing of the acquired advantages, the common, innovative, unique notion of all the history of science . Besides feedback of the favored,its filiation introduces a non-linearity as well as an exponential processes, which reports the extraordinary capacity of adaptation of the living to their environnement.

Chapitre 1

Parallélismes évolutifs ou paradoxe de simultanéité (notion de non localité) est au cœur de ma proposition. La simultanéité implique une corrélation temporelle. L’incertitude est associée à l’action à distance (en théorie quantique), or nous avons l’habitude d’une action de proche en proche, la continuité est la règle : toutes les théories de l’évolution sont fondées sur cet a priori qui fonde le paradigme. Le domaine empirique montre clairement au moins deux épidémies simultanées, l’une à VIH, l’autre a virus Ebola. Elles s’opposent au paradigme de « l’action de proche en proche » :

Pourquoi la première épidémie à VIH a-t-elle commencé au début des années 80 en même temps en Afrique et aux États-Unis alors que l’on sait que ce virus est nouveau sur le Nouveau Monde, ancien en Afrique, et que les populations touchées sont totalement différentes. Son arrivée aux États-Unis est connue, on sait que le passage est dans le sens Afrique→ États-Unis, via les Caraïbes. De plus, il y a 2 virus en cause, VIH -1 et VIH-2.

Un raisonnement analogue avec la double épidémie a virus Ebola. Pourquoi en 1976, lors de la même semaine explose une épidémie l’une au Soudan (Maridi) l’autre au Zaïre (Yambuku) Ces deux épidémies sont dues aussi à deux souches virales issues d’un ancêtre commun, souches apparentées, mais bien distincts du point de vue génétique. Aussi une épidémie de l’une ne peut être responsable de l’autre (deux virus différents), comme précédemment. « C’est tout le mystère de ces deux épidémies simultanées dues à deux variants du même virus, nouveau pour la science »<.

Du côté du CDC d’Atlanta, le virus homologue américain, on nous dit que ces deux souches « présentent apparemment une remarquable bien qu’aucun transport de l’agent du Soudan au Zaïre soit a priori envisageable. Ces deux épidémies ne sont pas reliées entre elles, excepté dans le temps l’émergence de ces virus est d’autant plus paradoxale qu’elle ne succède pas au passage de l’animal à l’homme, les études réalisées sur des prélèvements après 1976 montrent qu’ils circulaient tous les deux dans les populations humaines. Lors de sa réapparition en 1995 dans le nord du Zaïre «tout comme en 1976, le virus s’est manifesté dans deux foyers distants d’une centaine de kilomètres apparemment sans relation ».