Comité troisié

Hypothèse de non-sépérabilité biologique

Déclaratif

L’intrication biologique est directement liée à l’intrication quantique c’est une homologie :
En effet au cœur du processus évolutif le moteur de l’évolution : la mutation est le primum movens du processus évolutif, c’est la base physique de la biologie.
Elle correspond un effet tunnel entre les nucléotides A-C, G-T (et U). C’est une liaison hydrogène inter nucléotidique aux propriétés étonnantes : échange d’un proton (proton jump) entre deux brins d’ADN ou d’ARN, qui est quantique, probabiliste, néguentropique et instantané .
De plus les processus épidémiques (Ebola et VIH) manifestent un processus d’intrication. « L’intrication est un phénomène dans lequel deux particules (ou groupes de particules) forment un système lié, et présentent des états quantiques dépendant l’un de l’autre quelle que soit la distance qui les sépare.» .
Ainsi le point de départ est quantique et le comportement des individus l’est également et ils manifestent un phénomène unique dans l’histoire des sciences : « une action à distance » objectivée par un démarche scientifique, l’intrication biologique, déjà authentifié par l’intrication quantique.
Bien que le terme de non-localité liée à la « cohérence quantique » soit utilisé, le travail que j’ai réalisé avec le Professeur Dominique Dormont et le professeur Françoise Barré-Sinoussi, conduit à nommé Intrication Biologique l’hypothèse que nous défendons. Les deux premières expérimentation fut un succès, mais uniquement car elles valident le modèle expérimental.

Cependant la responsable du service de rétrovirologie de l’Institut Pasteur de Paris n’accepte pas les modalités ce l’expérience tout en reconnaissant la significativité statistique des résultats de l’expertise NSB2.

Le Professeur Dominique Dormont après avoir rencontré le physicien le professeur Basarab Nicolescu (Centre International de Recherches et Etudes Transdisciplinaires – CIRET.) a parfaitement reconnu l’éventualité dans le cadre de la physique quantique (violation des inégalités de Bell) de la possibilité d’une « action à distance ». Or c’est tout l’intérêt de ce travail de réunir, avec un souci d’interdisciplinarité, médecine et théorie quantique.

Il s’agit d’une véritable nouveauté, un rapprochement a été fait jusque-là, entre biologie et physique quantique. Sachant que je suis moi-même étonné du résultat des deux premières expérimentations, certes réussies mais non publiées.

Professeur Domique Dormont nous a malheureusement quittées en 2003, j’ai personnellement souffert (ALD 30 = affection longue durée) d’une grave maladie de 2000 à 2006.

Le « destin » chronologiquement rendait cette première publication impossible. Aussi ce qui se présentait comme une hypothèse (deux fois confirmée) doit être considèré comme une théorie. L’urgence est d’arriver à une première application (avec une forte probabilité de réussite).

Ce sera une troisième expérimentation (voir verbatim) qui pourrait être réalisée (en cette année 2018) et publiée pour son officialisation, mais en cas de réussite de cette dernière expérimentation serait (enfin) largement publiée, internationalement.

En somme, et à la différence du hasard aveugle du paradigme de Jacques Monod, la mutation reste aléatoire mais étrangement corrélée au devenir des membres de la fratrie. Le message de ce travail est que « l’union fait la force ». Cette corrélation est seule en mesure d’expliquer ce qui nous (chercheur sur l’évolution des espèces) étonne : l’occurrence de la vie sur terre ainsi que le processus l’hominisation. Les dès sont corrélés.